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Interdiction d’avoir des Pratiques sexuelles avec les animaux

Parmi les péchés du sexe, il y a avoir des pratiques sexuelles avec des animaux même s’ils sont à soi. Ceci rentre dans le cadre de Sa parole Ta`âlâ ce qui signifie: « Et ceux qui préservent leurs sexes hormis avec leurs épouses [...], ils n’en seront pas blâmés. Mais ceux qui recherchent autre chose, ceux-là sont les injustes » [sôurat al-Mou’minôun / 5-7].

Péchés du Sexe : Dévoiler sa zone de pudeur

Parmi les péchés du sexe, il y a dévoiler sa zone de pudeur devant quelqu’un à qui il est interdit de la voir ou quand la personne est seule et sans raison. On a su à partir de ce qui précède qu’il est permis de dévoiler sa zone de pudeur c’est-à-dire de dévoiler ce qui est compris entre le nombril et les genoux lorsque la personne est seule, même les parties intimes si c’est pour une raison comme chercher à se rafraîchir ou autre.

Péchés du Sexe: Ne pas se faire circoncire

Parmi les péchés du sexe, il y a ne pas se faire circoncire lorsqu’on est pubère. En effet, c’est un devoir pour celui qui est responsable de se faire circoncire à la puberté s’il peut le supporter. Ceci est réalisé en coupant le prépuce pour quelqu’un de sexe masculin et c’est un devoir selon l’Imam Ach-Châfi`iyy de couper, de sorte que cela s’appelle couper, quelque chose dépassant comme la crête du coq pour quelqu’un de sexe féminin. La voie de l’Imâm Mâlik est la voie de la plupart des Imams, c’est que ce n’est pas un devoir ni pour la personne de sexe masculin ni pour la personne de sexe féminin, mais que c’est recommandé.

La Croyance au Paradis

Nous devons croire au paradis qui est la résidence de la félicité. Il se trouve au-dessus des sept cieux ; c’est la demeure de la paix, de la félicité et de la joie. Allāh l’a préparé pour les croyants. Il contient des fleuves de miel pur, de lait et d’un khamr qui n’est pas comme les boissons alcoolisées de ce bas monde qui font perdre la raison ; et il y a au paradis d’autre sorte de félicités éternelles.

Exégèse de soūrat Al-Moulk ’āyah 6 à 10

wa lil-ladhīna kafarou birabbihim `adhābou jahannam wa bi’sa l-maṣīr c’est-à-dire Allāh a préparé pour ceux qui ont mécru en leur Seigneur, parmi les humains et les jinn, le feu de l’enfer qui est un feu ardent et très puissant. Et il a été rapporté dans le ḥadīth rapporté par At-Tirmidhiyy, que l’enfer a été attisé mille ans jusqu’à devenir rouge, mille ans jusqu’à devenir blanc et mille ans jusqu’à devenir noir, il est noir et obscur. wa bi’sa c’est une parole de blâme : « quel mauvaise... ». wa bi’sa l-maṣīr : c’est à dire et quelle mauvaise demeure et destination qui les attend, qui est le châtiment de l’enfer, que Allāh nous préserve de cela.

Interdiction de vendre des substances enivrantes

Il est interdit de vendre des substances enivrantes. Entre dans le cadre de cette règle, entre autres, l’alcool à brûler, même s’il n’est pas destiné à être bu. Celui qui en a besoin, qu’il l’obtienne autrement que par la vente et l’achat. Comme en disant par exemple : « Vends-moi cette bouteille pour tant, sauf que j’utiliserai gratuitement l’alcool qu’elle contient ». En effet l’alcool à brûler est enivrant, il constitue l’essence même du vin. Il n’est pas permis de l’acheter car son jugement est le même que pour les autres substances enivrantes.

Interdiction d’aider aux péchés

Il convient au musulman de faire preuve de bon comportement, de patience et d’indulgence envers les musulmans et non musulmans, mais il ne doit pas aider à ce qui est interdit car le prophète a dit ce qui signifie: « on n’obéit pas à une créature pour désobéir au Créateur » [rapporté par At-Tirmîdhiyy]. Ainsi il n’est pas permis d’aider à commettre les péchés ni à la mécréance, en effet aider au péché est un péché et aider à la mécréance est de la mécréance, de même approuver la mécréance est de la mécréance.

Interdiction d’acheter ce qui n’a pas d’utilité valable selon la Loi de l’Islam

Il n’est pas permis d’acheter ce qui n’a pas d’utilité valable selon la Loi de l’Islam, comme du pain brûlé, qu’on ne recherche pas pour manger. C’est la même condition pour la contre-valeur. Parmi ce qui n’a pas d’utilité selon la Loi : les instruments de musique à vent et à cordes. C’est le cas également des insectes qui sont les petits animaux de la terre, comme les serpents, les scorpions, les souris, ou les scarabées. En revanche, ce n’est pas le cas de ce qui est utile, à l’exemple d’un animal appelé ḍabb [ressemble au caméléon en étant plus grand] qu’on peut manger, et les sangsues qui sucent le sang.

La Formule de Vente

Parmi les conditions de validité de la vente selon ce qui est énoncé par les textes dans l’école de Ach-Châfi`iyy, que Allāh l’agrée, il y a la formule de vente c’est-à-dire la formule de part et d’autre. Certains compagnons de Ach-Châfi`iyy ont toutefois retenu la validité de la transaction lorsqu’il s’agit d’une cession mutuelle sans expression particulière : lorsque l’acheteur donne la contre-valeur et récupère la marchandise sans expression particulière. Il s’agit-là de l’école de Mâlik.

Interdiction de Spéculer sur les nourritures de base

Il est interdit d’acheter les produits alimentaires de base en période de hausses de prix et de pénurie pour les stocker et les revendre à un prix plus élevé lorsque le besoin des gens de sa région ou autres sera devenu encore plus important ; rentre dans cette catégorie les dattes, les raisins secs et toute chose de cet ordre. Cela s’appelle la spéculation. Fait exception à cela la spéculation sur une nourriture autre que les nourritures de base et également les nourritures de base qu’il n’a pas achetées comme par exemple la récolte issue de son propre champ ou s’il s’agissait de quelque chose qu’une personne avait acheté en période normale, ou encore s’il s’agit de quelque chose que quelqu’un a achetée en période de hausse de prix mais pour lui-même ou sa famille, ou pour la revendre mais pas à un prix supérieur. As-Soubkiyy a rapporté du Qâḍî Ḥouçayn qu’il est interdit de spéculer en période de nécessité sur ce dont les gens ont besoin par nécessité alors qu’on n’en a pas besoin soi-même.

Le merite des derniers jours de Ramadan

D’après `Ā'ichah, qu'Allāh l'agrée, elle a dit : « Lorsque les dix derniers jours de Ramadān arrivaient, le Messager d'Allāh, que Dieu l'honore et l'élève d'avantage en degré, passait la nuit en prière, réveillait sa famille, redoublait d'efforts et resserrait son izār. » Ce ḥadīth est al-Boukhāriyy et Mouslim. Et elle a dit, qu'Allāh l'agrée: « Le Messager d'Allāh, que Dieu l'honore et l'élève d'avantage en degré, redoublait d'efforts durant les dix derniers jours de Ramadān, plus qu'à tout autre moment. » Rapporté par Mouslim.