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Interdiction de Tuer l'âme que Dieu a interdit de tuer en Islam

Parmi les péchés des mains il y a tuer volontairement l'âme que Dieu a interdit de tuer délibérément. Le Prophète a dit dans le ḥadīth où il y a la présentation des sept péchés qui mènent à la perte, ce qui signifie: « Et tuer la personne que Allāh a interdit de tuer sauf avec droit ».

Péchés du corps: Utiliser le hénné pour un homme

Parmi les péchés du corps, il y a l’utilisation du henné, c’est-à-dire se teindre les mains ou les pieds avec, pour l’homme, sans besoin, et ce en raison de l’assimilation aux femmes que cela comporte ; mais si c’est pour un besoin comme si un médecin digne de confiance lui dit de faire cela pour se soigner dans ce cas c’est permis.

Péchés du corps: Interrompre un rituel obligatoire

Parmi les péchés du corps, il y a interrompre un rituel obligatoire accompli dans son temps ou en rattrapage même s’il a encore le temps de le faire, qu’il s’agisse d’une prière ou d’autre chose comme un pèlerinage, ou un jeûne.

Péchés du corps: Tuer le gibier avec ce qui tue par son poids

Parmi les péchés du corps, il y a tuer le gibier avec ce qui tue par son poids et fait sortir l’âme rapidement comme une pierre. Cela compte parmi les péchés du corps car d'autres organes que la main y participent. Ce qui tue sous l’effet de son poids, al-mouthaqqal, c’est par exemple un rocher.

Interdiction de Manquer de considération envers le Qour'ân ou la science de la religion

Parmi les péchés du corps, il y a le fait de manquer de considération envers le Mouṣ-ḥaf [le livre Qour’ân] c’est-à-dire faire quelque chose qui montre qu’on ne le glorifie pas. Il en est de même envers une science légale comme les livres de jurisprudence, de ḥadīth, de tafsîr et de même envers une simple feuille sur laquelle il y a du Qour’ân ou une science de la Loi, comme en le prenant pour oreiller sans excuse valable.

Péchés du corps : Ne pas respecter le vœu (an-Nadhr)

Parmi les péchés du corps, il y a ne pas respecter le vœu (an-Nadhr). La condition pour qu’il soit un devoir de respecter un vœu, c’est que l’objet du vœu soit un acte méritoire qui n’est pas obligatoire à l’origine. Ainsi, faire le vœu d’accomplir un acte méritoire qui est déjà obligatoire comme les cinq prières n’est pas effectif ni même le vœu de délaisser une désobéissance comme de boire de l’alcool.

Le banquet de mariage en Islam

Le banquet du mariage est recommandé. La sounnah du banquet est réalisée en servant de la viande pour ceux qui en sont capables ou pas. Elle est réalisée également par autre chose que la viande. Le temps où l'on peut organiser ce banquet est étendu.

Explication sur al-'istiḥāḍah (sang de maladie autre que les menstrues et lochies) Partie 2

Lorsque la femme voit un écoulement de sang, même pendant la grossesse mais pas lorsqu'elle a les douleurs précédant l'accouchement, pendant une période de menstrues. Commentaire: C'est-à-dire que lorsque la fille voit un écoulement de sang, même si elle est enceinte, dans le temps où elle peut avoir les menstrues c'est-à-dire à un âge auquel on considère que le sang qu'elle a est un sang de menstrues à savoir neuf ans lunaires (lunaire veut dire du croissant lunaire au croissant lunaire car le mois lunaire commence à partir du croissant jusqu'au croissant et l'année dure douze mois lunaires). Lorsque la fille atteint la puberté et qu'elle voit du sang durant vingt-quatre heures, même en discontinu sur une période de quinze jours, ce sang-là est du sang de menstrues. En revanche, ce que voient les femmes lors de l'accouchement n'est pas des menstrues ni des lochies. L'accouchement signifie lorsqu'elle a les douleurs qui précèdent la sortie de l'enfant, lorsque l'enfant s'apprête à sortir.

Explication sur al-'istiḥāḍah (sang de maladie autre que les menstrues et lochies) Partie 3

La période durant laquelle le sang était faible est une istiḥāḍah et la période durant laquelle le sang était fort est une période de menstrues. Commentaire: Le sang faible est une période d'istiḥāḍah et le sang fort est une période de menstrues. Toutefois il est une condition que le fort ne dure pas moins que vingt-quatre heures et que le faible ne dure pas moins que quinze jours. Ceci est la condition pour qu'elle soit moubtada'ah moumayyizah. Dans ce cas nous disons que le noir qui n'a pas duré moins qu'un jour et une nuit sans dépasser quinze jours est un sang de menstrues et que ce qui vient après, qui est rouge, nous disons que c'est une istiḥāḍah.

Explication sur al-'istiḥāḍah (sang de maladie autre que les menstrues et lochies) Partie 4

La femme peut être moutaḥayyirah – dans l’embarras –. Commentaire: Les quatre catégories sont ainsi terminées : celle qui a les menstrues pour la première fois qui est capable de distinguer : moubtada'ah moumayyizah, celle qui a les menstrues pour la première fois qui n'est pas capable de distinguer : moubtada'ah ghayrou moumayyizah, celle qui est habituée à avoir les menstrues et qui est capable de distinguer : mou`tâdah moumayyizah et celle qui est habituée à avoir des menstrues mais qui n'est pas capable de distinguer : mou`tâdah ghayrou moumayyizah. Ce sont là quatre catégories, il en reste trois. Concernant la femme qui est moustahadah, il reste trois cas. Maintenant il parle de la moutaḥayyirah, celle qui est dans l'embarras, il s'agit de la cinquième des sortes de moustahadah.