Jour du Jugement Dernier. Apprendre l'Islam pour les convertis et les débutants gratuitement. Informations religion musulmane. Site Musulman Sunnite. Islam.ms

Le supplice de la tombe.

Il est un devoir de croire au supplice de la tombe qui est confirmé selon l’Unanimité, celui qui le renie devient mécréant. Allāh ta`ālā dit ce qui signifie : « Au feu ils sont exposés en début et en fin de journée mais au Jour du Jugement, faites entrer Pharaon et ceux qui l’ont suivi sur la mécréance dans le pire des châtiments » [soūrat Ghāfir / 46].

Qui est le premier prophète ?

Le premier prophète est ’Adam. Allāh ta`ālā dit ce qui signifie : « Certes Allāh a élu ’Adam » [soūrat Ali `Imrān / 33].

Hajj et `Oumrah : L’Entrée à la Mecque et la vue de la Ka`bah Honorée

L’Entrée à La Mecque et La vue de la Ka`bah Honorée : Allāhoumma hâdhâ ḥaramouka wa ’amnouka fa ḥarrimnī `ala n-nâr wa ’âminnî min `adhâbik yawma tab`athou `ibâdak wa j`alnî min ’awliyâ’ika wa ’ahli ṭâ`atik, ce qui signifie: « Ô Allāh ceci est Ton Ḥaram et Ton lieu sûr, alors préserve moi de l’Enfer et assure moi d’éviter Ton Châtiment le jour où Tu ressusciteras Tes esclaves et mets-moi au nombre de Tes Saints et des gens qui T’obéissent ». Il essaie d’avoir présent dans son cœur la crainte et l’humiliation, dans son cœur comme dans son corps tant que cela lui est possible.

Hajj : La Station de `Arafah

Les pèlerins se dirigent ensuite à `Arafah qui est une montagne connue là-bas. Certains savants ont approuvé de dire pendant la route : (Allāhoumma ’ilayka tawajjahtou wa liwajhika l-karîmi ’aradt, faj`al dhanbî maghfôurâ wa Ḥajjî mabrôurâ wa rHamnî wa lâ toukhayyibnî ’innaka `alâ koulli chay’in qadîr ) ce qui signifie : « Ô Allāh je me fie à Toi, et c’est la recherche de Ton agrément qui est mon but ; fais que mon péché soit pardonné, mon pèlerinage doté de Ta grande récompense (mabrôur). Accorde-moi Ta miséricorde et fais que je ne sois pas déçu ; certes Tu es sur toute chose tout puissant ». Il multiplie ensuite at-talbiyah.

Explication Traité de Croyance Musulmane de l’Imam Ibnou `ASAKIR - Partie 8

Tout bienfait de la part de Dieu est une grâce; Ce n’est pas une obligation pour Allāh d’accorder à Ses esclaves des bienfaits. Il accorde les bienfaits par une grâce et une générosité de Sa part. Et s’Il ne leur accordait pas ces bienfaits, Il ne serait pas injuste envers eux, tout comme Il dit soubḥânah ce qui signifie: « Et n’eussent été la grâce et la miséricorde de Allāh, aucun d’entre vous n’aurait été guidé. ». Et tout châtiment de Sa part est une justice. Allāh n’est injuste envers personne. On ne doit pas faire d’objection à Allāh.

Interdiction de voler en Islam

Parmi les péchés des mains, il y a voler. Le vol fait partie des grands péchés. C’est une interdiction selon l’Unanimité et qui est connue d’évidence dans la religion. À l’origine, il s’agit de prendre le bien d’autrui en cachette sans utiliser la force au grand jour ni même en utilisant la fuite au grand jour, ainsi le premier de ces deux péchés est une usurpation et le deuxième est un pillage.

Exégèse de soūrat Al-Moulk ’āyah 26 à 30

qoul ’innama l-`ilmou `inda l-Lāh wa ’innamā ’ana nadhīroun moubīn c’est-à-dire Ô Mouḥammad, dis: certes Seul Allāh ta`ālā sait quand aura lieu le Jour du Jugement et nul autre que Allāh ne sait cela et certes je suis un avertisseur pour vous, je vous mets en garde contre le châtiment de Allāh pour votre mécréance, et je vous montre les Lois de Dieu.

Les ḥadīth non explicites

Al-Boukhāriyy a rapporté que le Messager de Allāh ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam a dit: سَبْعَةٌ يُظِلُّهُمُ اللَّهُ فِي ظِلِّهِ يَوْمَ لاَ ظِلَّ إِلاَّ ظِلُّهُ (sab`atoun youḍhil-louhoumou l-Lâhou fī ḍhil-lih yawma lâ ḍhilla ‘il-lâ ḍhillouh) ce qui signifie : « Il y a sept catégories de personnes que Allāh protègera à l’ombre du Trône, le Jour où il n’y aura pas d’autres ombres que l’ombre du Trône ». Dans ce ḥadīth, il s’agit d’une indication que l’ombre en question correspond à l’ombre d’une chose honorée (at-tachrîf) selon le jugement de Allāh, et il s’agit du Trône. Ce ḥadīth ne signifie donc pas comme le prétendent faussement les moujassimah [ceux qui attribuent à Allāh le corps], que ces sept catégories de personnes seront sous l’ombre de Dieu au Jour du Jugement. Ces égarés ont clairement affichés leur croyance anthropomorphiste en donnant à ce ḥadīth une telle signification.

Explication sur al-’istiḥāḍah (sang de maladie autre que les menstrues et lochies) Partie 2

Lorsque la femme voit un écoulement de sang, même pendant la grossesse mais pas lorsqu’elle a les douleurs précédant l’accouchement, pendant une période de menstrues. Commentaire: C’est-à-dire que lorsque la fille voit un écoulement de sang, même si elle est enceinte, dans le temps où elle peut avoir les menstrues c’est-à-dire à un âge auquel on considère que le sang qu’elle a est un sang de menstrues à savoir neuf ans lunaires (lunaire veut dire du croissant lunaire au croissant lunaire car le mois lunaire commence à partir du croissant jusqu’au croissant et l’année dure douze mois lunaires). Lorsque la fille atteint la puberté et qu’elle voit du sang durant vingt-quatre heures, même en discontinu sur une période de quinze jours, ce sang-là est du sang de menstrues. En revanche, ce que voient les femmes lors de l’accouchement n’est pas des menstrues ni des lochies. L’accouchement signifie lorsqu’elle a les douleurs qui précèdent la sortie de l’enfant, lorsque l’enfant s’apprête à sortir.

Les choses qui annulent l’ablution - wouḍoū’ - selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, les choses qui annulent l’ablution - le wouḍoū’ - sont au nombre de quinze. Il s’agit du ḥadath qui est tout ce qui annule par lui-même, des causes du ḥadath, et de ce qui amène à l’état de ḥadath. Quant au ḥadath, c’est ce qui sort de manière habituelle des deux orifices inférieurs antérieur et postérieur...

Explication du ḥadīth de Al-jāriyah Femme esclave

An-Nawawiyy dans son commentaire du ḥadīth a dit : « La parole (’ayna l-Lāh) est une interrogation au sujet du mérite (al-makānah) et non au sujet de l’endroit (al-makān) ». Elle signifie : Quelle glorification accordes-tu dans ton cœur pour Allāh ? Et lorsqu’elle a répondu : (Fi s-samā’), cela veut dire qu’Il a un très grand mérite, c’est-à-dire que Allāh mérite une très grande vénération. Il n’est pas permis de croire que le Messager a interrogé cette femme esclave au sujet de l’endroit. Il n’est pas permis non plus de croire que cette femme esclave a voulu dire qu’Il habite le ciel.