épouse du prophète. Apprendre l'Islam pour les convertis et les débutants gratuitement. Informations religion musulmane. Site Musulman Sunnite. Islam.ms

Multiplier l’istighfār, la demande de pardon à Dieu, est une grande cause pour la facilité

Le Prophète Mouḥammad a dit ce qui signifie: « Celui qui s’attache à faire l’istighfār (régulièrement), Allāh lui accorde une subsistance d’une voie à partir de laquelle il ne s’attendait pas et Il le délivre de son tourment », [rapporté par Aṭ-Ṭabarāniyy].

Transaction: le contrat de mariage en Islam

Parmi les conditions de validité du contrat de mariage: la formule, comme si le tuteur dit ce qui signifie: "je te marie Une telle"(zawwajtouka foulānah) et que l’époux réponde ce qui signifie : "j’accepte son mariage" (qabiltou ziwājahā). Deux témoins musulmans libres, de sexe masculin, pubères, sains d’esprits, juste. Que l’époux soit musulman pour la musulmane.

Devoir du Coeur en Islam: Aimer Allāh et Son Messager

Péchés du Coeur: Détester les compagnons, les proches musulmans du Prophète et les vertueux

Celui qui déteste tous les compagnons il devient non-croyant car ce sont eux qui transmettent la religion ; mais s’il déteste une partie d’entre eux il ne devient pas non-croyant.

Péchés des mains: Toucher une femme non maḥram par contact direct

Fait partie des péchés des mains, le fait de toucher une femme ‘ajnabiyyah, c’est-à-dire qui n’est ni maḥram ni épouse ou quelqu’un de cet ordre, délibérément sans quelque chose qui empêche le contact peau contre peau et de façon absolue, c’est-à-dire avec ou sans désir. Ceci entre personnes de sexes opposés, c’est interdit. De même entre personnes de même sexe si c’est avec désir, comme un homme avec un autre homme ou une femme avec une autre femme et également avec une femme maḥram comme sa sœur.

Interdiction de la Trahison en Islam

Parmi les péchés de la main il y a la trahison qui est l’opposé du conseil. Elle comprend la trahison par les gestes, les paroles et les attitudes. Allāh Ta`âlâ dit ce qui signifie: « Allāh vous ordonne de vous acquitter envers leurs propriétaires des choses qui vous ont été confiées » [sôurat An-Niçâ’ / 59] .

Comment faire le Ghousl - La Grande Ablution - Obligatoire selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, les piliers, sont l’intention, répandre l’eau sur tout le corps, le dalk et la continuité.

Ce qui devient interdit à celui qui est en état de grand ḥadath selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, il devient interdit à la personne qui est en état de grand ḥadath suite à un rapport sexuel ou une émission de maniyy (jounoub) six choses, parmi elles: la prière, la prosternation de la lecture du qour’ān, le tawaf, par l’unanimité. Il lui également interdit de toucher le Mousḥaf, même avec un bâton, et même s’il s’agit d’un enseignant ou d’un apprenant ainsi que le port du Mous-ḥaf selon l’explication détaillée citée plus haut, l’entrée dans la mosquée même si ce n’est pas pour y rester, exception faite pour le voyageur passant, qui se retrouve en état de grand ḥadath et qui ne peut accéder à l’eau qu’en entrant dans la mosquée, il est permis à celui-ci d’y entrer. De même lui est interdite la retraite spirituelle dans la mosquée et la récitation du Qour’ān par la langue.

Le merite des derniers jours de Ramadan

D’après `Ā'ichah, qu'Allāh l'agrée, elle a dit : « Lorsque les dix derniers jours de Ramadān arrivaient, le Messager d'Allāh, que Dieu l'honore et l'élève d'avantage en degré, passait la nuit en prière, réveillait sa famille, redoublait d'efforts et resserrait son izār. » Ce ḥadīth est al-Boukhāriyy et Mouslim. Et elle a dit, qu'Allāh l'agrée: « Le Messager d'Allāh, que Dieu l'honore et l'élève d'avantage en degré, redoublait d'efforts durant les dix derniers jours de Ramadān, plus qu'à tout autre moment. » Rapporté par Mouslim.

Exégèse tafsir soūrat soūrat al-Maçad Tabbat

Al-Boukhārīyy et Mouslim ont rapporté dans leurs Sahīh qu'Ibn Abbās a dit: « Lorsque le verset "wa andhir achirataka al-'aqrabīn" fut révélé, le Prophète, que Dieu l'honore et l'élève davantage en degré, monta sur le mont Safā et appela : "Ô Banū Fihr, Ô Banoū `Adī" (les clans de Qouraych), jusqu'à ce qu'ils se rassemblent. Il dit: "Si je vous informais qu'une cavalerie dans la vallée est sur le point de vous attaquer, me croiriez-vous ?" Ils répondirent: "Oui, nous savons de toi que tu es véridique." Il dit: "Je vous avertis d'un châtiment douloureux." Aboū Lahab dit alors: " Malheur à toi ! Est-ce pour cela que tu nous as rassemblés aujourd'hui ? " C'est alors que sourate Al-Maçad fut révélé. »