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Exégèse de soūrat Al-Moulk ’āyah 21 à 25

’amman hādha l-Ladhī yarzouqoukoum ’in ’amsaka rizqah bal lajjoū fī `outouwwin wa noufoūr c’est-à-dire si Allāh vous prive de Sa subsistance, qui vous accordera la subsistance ?! c’est-à-dire personne ne peut vous accorder la subsistance si Allāh ta`ālā arrête sur vous les causes, comme la pluie et les plantes et autres que cela. bal lajjôu fî `outouwwin wa noufoūr mais ils persévèrent et ils persistent alors que la vérité est claire, ils persistent sur l’orgueil et l’entêtement. Et ils persistent à s’éloigner de la vérité et à se détourner de la vérité.

Les ḥadīth non explicites

Al-Boukhāriyy a rapporté que le Messager de Allāh ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam a dit: سَبْعَةٌ يُظِلُّهُمُ اللَّهُ فِي ظِلِّهِ يَوْمَ لاَ ظِلَّ إِلاَّ ظِلُّهُ (sab`atoun youḍhil-louhoumou l-Lâhou fī ḍhil-lih yawma lâ ḍhilla ‘il-lâ ḍhillouh) ce qui signifie : « Il y a sept catégories de personnes que Allāh protègera à l’ombre du Trône, le Jour où il n’y aura pas d’autres ombres que l’ombre du Trône ». Dans ce ḥadīth, il s’agit d’une indication que l’ombre en question correspond à l’ombre d’une chose honorée (at-tachrîf) selon le jugement de Allāh, et il s’agit du Trône. Ce ḥadīth ne signifie donc pas comme le prétendent faussement les moujassimah [ceux qui attribuent à Allāh le corps], que ces sept catégories de personnes seront sous l’ombre de Dieu au Jour du Jugement. Ces égarés ont clairement affichés leur croyance anthropomorphiste en donnant à ce ḥadīth une telle signification.

Mise en garde contre la secte wahhabite, wahhabisme. Faux Salafites. 3

Les savantes sunnites sont unanimes à confirmer: « Puisque Allāh existe avant l’univers et que Allāh ne change pas, alors après avoir crée l’univers, Allāh existe sans qu’Il soit à l’intérieur ni à l’extérieur de cet univers ». Ceci déplaît aux assimilateurs wahhabites qui attribuent à Dieu l’endroit et la localisation.

Les obligations du wouḍoū’ - petite ablution - selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, les obligations du wouḍoū’ sont sept: l’intention, le lavage du visage, le lavage des deux mains jusqu’aux coudes, passer la main mouillée sur la tête, le lavage des deux pieds chevilles comprises, la continuité et le dalk, qui consiste à passer la main sur l’endroit qui doit être lavé au moment de verser l’eau.

Les choses qui annulent l’ablution - wouḍoū’ - selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, les choses qui annulent l’ablution - le wouḍoū’ - sont au nombre de quinze. Il s’agit du ḥadath qui est tout ce qui annule par lui-même, des causes du ḥadath, et de ce qui amène à l’état de ḥadath. Quant au ḥadath, c’est ce qui sort de manière habituelle des deux orifices inférieurs antérieur et postérieur...

Comment faire le Ghousl - La Grande Ablution - Obligatoire selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, les piliers, sont l’intention, répandre l’eau sur tout le corps, le dalk et la continuité.

Ce qui devient interdit lorsque le Woudou’ - ablution - est annulé selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, la prière même s’il s’agit d’une prière funéraire le Tawaf les tours rituels autour de la Ka`bah, de toucher le Mous-haf ou sa couverture par la main, ou encore par l’intermédiaire d’un bâton, ou ce qui est de cet ordre, exception faite pour l’enseignant qui l’enseigne ou pour l’étudiant qui l’apprend ; le jugement est le même pour la partie ou section du qour’ān et l’ardoise contenant le qour’ān.

Ce qui devient interdit à celui qui est en état de grand ḥadath selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, il devient interdit à la personne qui est en état de grand ḥadath suite à un rapport sexuel ou une émission de maniyy (jounoub) six choses, parmi elles: la prière, la prosternation de la lecture du qour’ān, le tawaf, par l’unanimité. Il lui également interdit de toucher le Mousḥaf, même avec un bâton, et même s’il s’agit d’un enseignant ou d’un apprenant ainsi que le port du Mous-ḥaf selon l’explication détaillée citée plus haut, l’entrée dans la mosquée même si ce n’est pas pour y rester, exception faite pour le voyageur passant, qui se retrouve en état de grand ḥadath et qui ne peut accéder à l’eau qu’en entrant dans la mosquée, il est permis à celui-ci d’y entrer. De même lui est interdite la retraite spirituelle dans la mosquée et la récitation du Qour’ān par la langue.

Explication sur le Tayammoum - l’ablution sèche - selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence Malikite, il est permis de faireُ اﻟﺗﱠﯾَﻣﱡم le tayammoum pour deux raisons: le manque d’une quantité suffisante d’eau c’est-à-dire que la personne n’a pas trouvé suffisamment d’eau pour faire sa purification : soit elle n’en a pas trouvé du tout, soit elle en a trouvé mais pas assez pour faire sa purification, qu’elle soit en voyage ou en statut de résident. Et la deuxième raison est la présence d’une excuse qui justifie que la personne n’utilise pas l’eau malgré sa disponibilité.

Comment se purifier des substances impures -najāçah- selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence Malikite, toute substance qui sort de l’un des deux orifices est impure telle que l’urine, les selles, le madhiy, le wadiy, le sperme et le sang des menstrues. Tous les sangs en totalité sont impurs de tout animal qui a du sang qui coule, la petite quantité est tolérée mais pas la grande.

Explication sur les Menstrues (les règles) et les Lochies en Islam selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence Malikite, il n’y a pas une limite minimale pour la durée des menstrues et c’est le sang qui sort du sexe féminin et qui n’est pas dû à l’accouchement ou la maladie. La durée la plus longue pour une débutante est de quinze jours avec leurs nuits et si cela va au-delà de cela, il s’agit de sang dû à une maladie. La durée maximale pour une habituée est de trois jours de plus par rapport au maximum de son habitude tant que cela ne dépasse pas quinze jours et tout ce qui dépasse est considéré comme du sang de maladie.