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Exégèse de soūrat Al-Moulk ’āyah 16 à 20
’a’amintoum m-man fi s-samā’i ’an yakhsifa bikoum l-’arḍa fa’idhā hiya tamoūr c’est-à-dire ne craignez-vous pas que celui qui est au ciel c’est-à-dire l’ange chargé du châtiment, qui est Jibrīl, ne vous enfonce dans la terre, c’est-à-dire qu’elle va vers le bas comme a subit cela qârôun à l’époque du prophète Moūçā Moise, la terre s’est fissurée et l’a englouti, et comme Jibrīl a aussi fait cela avec le peuple de Loūṭ. fa’idhā hiya tamoūr c’est-à-dire qu’elle est en mouvement avec les gens sur elle.
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Les versets non explicites
Dans la langue arabe, il y a de grandes possibilités d’utilisation des sens figurés et beaucoup de richesse dans le langage. De plus, les compagnons du Prophète ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam connaissaient les racines des mots et comprenaient leurs diverses significations. Celui donc qui ne s’autorise jamais à expliquer les textes par un autre sens que le sens apparent, c’est en raison de son peu de compréhension de la langue arabe. Quant à celui qui a de vastes connaissances dans la langue arabe d’origine [la langue dans laquelle a été révélé le Qour’ân], il lui est facile de comprendre les sens réels.
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Explication sur al-’istiḥāḍah (sang de maladie autre que les menstrues et lochies) Partie 4
La femme peut être moutaḥayyirah – dans l’embarras –. Commentaire: Les quatre catégories sont ainsi terminées : celle qui a les menstrues pour la première fois qui est capable de distinguer : moubtada’ah moumayyizah, celle qui a les menstrues pour la première fois qui n’est pas capable de distinguer : moubtada’ah ghayrou moumayyizah, celle qui est habituée à avoir les menstrues et qui est capable de distinguer : mou`tâdah moumayyizah et celle qui est habituée à avoir des menstrues mais qui n’est pas capable de distinguer : mou`tâdah ghayrou moumayyizah. Ce sont là quatre catégories, il en reste trois. Concernant la femme qui est moustahadah, il reste trois cas. Maintenant il parle de la moutaḥayyirah, celle qui est dans l’embarras, il s’agit de la cinquième des sortes de moustahadah.
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Mise en garde contre la secte wahhabite, wahhabisme. Faux Salafites. 4
Le deuxième point qui fonde la doctrine des wahhabites c’est le rejet pur et simple de toute forme de tawassoul , c’est-à-dire le fait d’invoquer le Créateur par la demande d’intercession des prophètes et des saints. A partir de ce rejet, ils considèrent les prophètes comme des cadavres et des amas d’ossements dans leurs tombes sans aucune valeur. C’est aussi à partir de là qu’ils interdisent une bonne partie des choses que l’ensemble des musulmans pratique et qu’ils considèrent tous les musulmans non-croyants dans leur ensemble.
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Les choses qui impliquent la grande ablution - le ghousl - selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence malikite, les choses qui rendent obligatoire la grande ablution sont au nombre de cinq. Quatre parmi elles imposent obligatoirement à la personne elle-même de faire la grande ablution dont deux sont communes à l’homme et la femme: l’émission du maniyy, le rapport sexuel, les menstrues, les lochies et la mort.
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Explication du ḥadīth de Al-jāriyah Femme esclave
An-Nawawiyy dans son commentaire du ḥadīth a dit : « La parole (’ayna l-Lāh) est une interrogation au sujet du mérite (al-makānah) et non au sujet de l’endroit (al-makān) ». Elle signifie : Quelle glorification accordes-tu dans ton cœur pour Allāh ? Et lorsqu’elle a répondu : (Fi s-samā’), cela veut dire qu’Il a un très grand mérite, c’est-à-dire que Allāh mérite une très grande vénération. Il n’est pas permis de croire que le Messager a interrogé cette femme esclave au sujet de l’endroit. Il n’est pas permis non plus de croire que cette femme esclave a voulu dire qu’Il habite le ciel.
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Lois et règles du jeûne selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence Malikite, il devient une obligation de jeûner le mois de Ramaḍān par l’une de ces cinq choses et il n’est pas permis de se baser sur les propos des astronomes, selon l’unanimité des savants: compléter le mois de Cha`ban à trente jours, la vision du croissant lunaire pour celui qui l’a vu, la confirmation de l’apparition du croissant lunaire pour celui qui ne l’a pas vu, par le témoignage de deux personnes dignes de confiance,..
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Le merite des derniers jours de Ramadan
D’après `Ā'ichah, qu'Allāh l'agrée, elle a dit : « Lorsque les dix derniers jours de Ramadān arrivaient, le Messager d'Allāh, que Dieu l'honore et l'élève d'avantage en degré, passait la nuit en prière, réveillait sa famille, redoublait d'efforts et resserrait son izār. » Ce ḥadīth est al-Boukhāriyy et Mouslim. Et elle a dit, qu'Allāh l'agrée: « Le Messager d'Allāh, que Dieu l'honore et l'élève d'avantage en degré, redoublait d'efforts durant les dix derniers jours de Ramadān, plus qu'à tout autre moment. » Rapporté par Mouslim.
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